L'ennui
Juste un petit mot avant de vous livrer ce poème : je ne suis pas plus triste, désabusée ou souffrante que quelqu'un d'autre, la seule différence entre moi et les autres c'est que je l'exprime différemment et avec plus d'intensité !
SVP, arrêtez de me dire que je suis trop jeune pour ressentir de tel choses, tout le monde les ressent mais tout le monde les expriment différemment.
L'ennui me ronge comme un acide
Mon coeur et ma tête sont vides
Mon esprit tourne autour de lui même
Ne trouvant à remâcher que peu de problèmes
Ne réussissant pas à plonger dans un rêverie insensée
Qui l'apaise si facilement à l'accoutumer.
L'ennui me ronge comme un acide
Dévorant mon coeur et mon âme à un rythme rapide
Mon esprit se refuse à penser à ce qui m'intéresse
Fuyant la douleur et ses caresses
Essayant de tenir à l'écart les angoisses dévorantes
Qui l'attaquent en lui livrant nombre d'images angoissantes
L'ennui me ronge comme un poison
Déclenchant en moi d'idiotes déblatérassions
M'obligeant à me torturer d'images fugaces
Que mon esprit refuse de regarder en face
Me faisant souffrir et déclenchant en moi
De grands frissons froids
L'ennui me ronge comme un poison
Laissant couler de moi tout passion
Et me plongeant dans une inertie glaçante
Pour les pauvres visiteurs de mon âme de folie brûlante
Je suis une statue de marbre blanc
Annihilant tout les sentiments.
SVP, arrêtez de me dire que je suis trop jeune pour ressentir de tel choses, tout le monde les ressent mais tout le monde les expriment différemment.
L'ennui me ronge comme un acide
Mon coeur et ma tête sont vides
Mon esprit tourne autour de lui même
Ne trouvant à remâcher que peu de problèmes
Ne réussissant pas à plonger dans un rêverie insensée
Qui l'apaise si facilement à l'accoutumer.
L'ennui me ronge comme un acide
Dévorant mon coeur et mon âme à un rythme rapide
Mon esprit se refuse à penser à ce qui m'intéresse
Fuyant la douleur et ses caresses
Essayant de tenir à l'écart les angoisses dévorantes
Qui l'attaquent en lui livrant nombre d'images angoissantes
L'ennui me ronge comme un poison
Déclenchant en moi d'idiotes déblatérassions
M'obligeant à me torturer d'images fugaces
Que mon esprit refuse de regarder en face
Me faisant souffrir et déclenchant en moi
De grands frissons froids
L'ennui me ronge comme un poison
Laissant couler de moi tout passion
Et me plongeant dans une inertie glaçante
Pour les pauvres visiteurs de mon âme de folie brûlante
Je suis une statue de marbre blanc
Annihilant tout les sentiments.